Ton cou fragile
Entre les mains agiles
De l’assassin capricieux
Des doigts comme des épines
Entrent dans ta peau fine
D’oiseau malheureux
Ton souffle est coupé
Ta voix est soufflée
Ton regard est poreux
Tes yeux s’emplissent de buée
Mais tu vas pleurer
De ne pas lui avoir dit adieu
Tu trembles d’effroi
Et il commence à faire froid
Tu fais un vœu
Puis tu tombe
Tu resteras dans la tombe
Mais l’assassin est-il heureux
mercredi 30 juillet 2008
dimanche 6 juillet 2008
La musique du vent
Comme une chanson
Ce sont des paroles perdues
Des sentiments égarés
Une envie qui dure
Mais quand le vent s’arrête
Ton souffle se perd
Il se coupe ce stop
Tu le retiens
Tu ne veux pas que ça finisse
Mais tu comprends
Et quand ça recommence
Tu continus à boire cette belle chanson
Tu continus à croire en ces émotions
Tu écoutes la mélodie des feuilles
Et tu embrasses ce coup de vent
Merveilleuse sensation Ephémère
Ce sont des paroles perdues
Des sentiments égarés
Une envie qui dure
Mais quand le vent s’arrête
Ton souffle se perd
Il se coupe ce stop
Tu le retiens
Tu ne veux pas que ça finisse
Mais tu comprends
Et quand ça recommence
Tu continus à boire cette belle chanson
Tu continus à croire en ces émotions
Tu écoutes la mélodie des feuilles
Et tu embrasses ce coup de vent
Merveilleuse sensation Ephémère
Inscription à :
Articles (Atom)