Ton cou fragile
Entre les mains agiles
De l’assassin capricieux
Des doigts comme des épines
Entrent dans ta peau fine
D’oiseau malheureux
Ton souffle est coupé
Ta voix est soufflée
Ton regard est poreux
Tes yeux s’emplissent de buée
Mais tu vas pleurer
De ne pas lui avoir dit adieu
Tu trembles d’effroi
Et il commence à faire froid
Tu fais un vœu
Puis tu tombe
Tu resteras dans la tombe
Mais l’assassin est-il heureux
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